Je me suis posé beaucoup de questions que je ne m’étais jamais posé avant, cela ne signifie pas que je ne savais pas que ce genre de questions pouvaient exister mais c’est juste que je n’avais jamais eu la chance ou l’occasion de me les mettre dans la tête et y réfléchir, voilà tout ! mais parfois il est difficile d’avoir ladite occasion si on n’essaie pas de sortir de son lieu de confort et de jeter un coup d’œil au-delà de nos habitudes.
Dès le 1er janvier 2020, je me suis claquemuré chez moi pendant dix jours, pour moi c’était un moment de réflexion et de prendre le recul dans ma vie de réaliser vraiment ce que je voudrai devenir et de me souvenir qui j’étais réellement, je lisais du matin au soir et je prenais de petites pauses en écoutant du reggae musique, je sentais en moi toutes ces choses que j’aime depuis mon enfance mais je n’arrive pas à avouer que je les aime encore parce que j’ai pris un autre chemin et j’essayais de les ignorer, j’avais peur que ça m’embrouillent mais au fond de moi je restais amoureux de tous ces rêves. Pour moi je ne me voyais plus devenir autre chose qu’un homme de la faculté, celui de l’amphithéâtre, assis pendant cinq heures pour écouter le professeur parler parfois même sans dire un mot appart écouter ou même m’ennuyer au fond et donc je me suis encore une fois efforcé d’oublier tous ces rêves.
Depuis tout petit j’ai eu à jouer au foot, j’étais très bon, mes amis admiraient ma rapidité et mon énergie inépuisable mais au fur du temps personne n’était présente pour m’encourager à jouer même si je pouvais toujours continuer avec mes études car amoureux aussi des belles lettres depuis le bas-âge, j’étais ce genre d’enfants qui dessinaient ou dansaient pendant le temps libre j’ai encore ces images de dessins que j’ai eu à réaliser pendant mon enfance ou même ces petits poèmes ou chansons que j’ai essayé d’écrire.
Je suis Gédéon Kakonde, étudiant en Droit à l’Université de Bourgogne à Dijon. Les voyages ou juste une rencontre avec quelques personnes, pour moi, ce sont des gros cours et leçons sans toutefois nier que ce sont des expériences inoubliables et essentielles pour toute ma vie. Ce programme d’échange au Portugal à Lisbonne avec quelques associations d’Europe m’a aidé à me souvenir encore une fois qui je suis vraiment et à poursuivre mes rêves en créant encore plus d’opportunités pour moi et pour tous ceux qui m’entourent. Pendant ce voyage appart le fait de découvrir la ville « Seven hills » and le beau quartier culturel d’Alfama, on a eu à réfléchir pour prétende résoudre quelques questions dans le cadre de l’éducation informelle, l’une de questions était de celle de savoir.
Comment utiliser l’Art dans l’éducation informelle que formelle ? C’est l’une de questions qui m’a vraiment touché et m’a poussé à revenir en arrière dans mes pensées et me demander ce que cette question pourrait m’inspirer.Cette grande question a fait venir une autre question, qui était celle de savoir ce que ce l’Art ? Beaucoup de réflexions ce sont succédé les unes après les autres, parmi lesquelles : l’Art c’est le fait d’apprendre par exemples les langues, c’est la manière d’agir ou de se comporter de chacun, l’Art est pour tous mais ce n’est pas le cas pour l’éducation, c’est la manière de communiquer et ce qui est beau. Dans tous les cas, toutes ces réflexions sont bonnes et vraies, à coté il y avait cette femme impressionnante qui s’appelle Laura, de nationalité française et habite au Portugal depuis plus de 15 ans, je la voyais réfléchir comme d’habitude car assez intelligente, elle dit tranquillement que l’Art parfois peut être violent, raciste, cynique mais aussi beau car l’intention de l’Artiste compte.
Hélas ! grâce à cette réflexion incontournable je me questionnais, suis-je un Artiste ? si oui, que dire des autres ? Après quelques minutes, je finis par me dire que tout le monde est artiste mais entant qu’enfant, on a besoin qu’une personne nous le rappelle mais parfois c’est compliquer d’avoir ladite personne à cause de l’existence des classes sociales manifestée par des inégalités dans le monde et qui s’explique par le fait que ce sont toujours les Riches ou leurs enfants qui ont plus de chance de poursuivre réellement leurs rêves. Mais en même temps je me suis demandé ce que je pourrai changer à cette situation, peut-être m’investir et aider tous ces jeunes qui n’ont pas la chance de se découvrir et pourquoi pas nous qui sommes aujourd’hui à Alfama, ce beau quartier à l’ancienne ? Bref, je me suis souvenu de l’une des phrases inspirantes de Barack Obama l’ex-président des Etats-Unis qui disait « Soit on laisse le monde tel qu’il est ou soit on travaille pour le transformer à devenir ce qu’il devrait être. »
Le prochain jour, on a parlé de la danse, quelle était sa place dans l’éducation, en étant une personne qui aimait danser depuis tout petit, je voulais découvrir encore plus ce que ça signifie « danser », juste bouger ou chaque pas avait une signification particulière. Mais l’une de choses que j’ai retenu pendant l’intervention d’un professionnel ce « qu’on lit tout le temps parfois les mouvements d’une personne » il disait. Je suis obnubilé par tout ce qui est livre, et j’ai vite fait compris pourquoi je me sentais aussi bien d’être avec ces bonnes personnes qui souriaient tout le temps, c’est parce que tout le temps que je suis resté avec eux c’était un bon bouquin que j’ai feuilleté.
Quelques heures après on parlait du Cinéma, avant ce moment pour moi, le cinéma c’est regarder sur Netflix un film ou parfois me rendre chez Eldorado le weekend dans ma ville « Dijon » mais j’ai vite découvert que je me trompais car ce mot signifie plus que cela. Même quand je parlais de regarder un film pour moi, c’était contempler les images (les personnages) et capter la petite histoire inspirante ou non, mais non ! j’avais tort, normalement il y avait plus que les personnages car les couleurs, le son, la musique…etc. je comprends maintenant que « Everyone knows how to look at but not how to see » la professionnelle répétait.
Comme toutes les bonnes choses passent vites c’était pareil pour ce moment, la dernière soirée était là. On nous avait parlé de la musique traditionnelle portugaise mais après tout, je ne me sentais pas trop accroché à ce genre de style mais en voyant ces trois Artistes chantaient et essayaient de nous faire chanter, j’étais assis, j’observais jusqu’à ce que je chantasse, ma voix ne m’obéissait plus. C’était la chanson « cheira beim, cheira a lisboa » et je voyais quelques personnes me dirent que j’avais une belle voix, en moi, je disais merci aux Organisateurs dont Paulo, Dulce et toute l’équipe, tous les participants sans oublier les Musiciens qui m’ont aidé à découvrir cet art de chanter et me surpasser de plus en plus. Toutes ces questions et ces beaux moments passés avec toutes ces bonnes personnes m’ont fait réfléchir et conduit à devenir encore plus. Je fais du Droit, j’aime lire et la politique mais cela ne va pas à danser, à dessiner, à jouer au foot car je suis un Artiste. Merci OFCI et toute son équipe pour la confiance et de m’avoir aidé à découvrir qui je suis vraiment. Si tu as une occasion de sortir de ton lieu de confort, pourquoi pas ?
Je me suis posé beaucoup de questions que je ne m’étais jamais posé avant, cela ne signifie pas que je ne savais pas que ce genre de questions pouvaient exister mais c’est juste que je n’avais jamais eu la chance ou l’occasion de me les mettre dans la tête et y réfléchir, voilà tout ! mais parfois il est difficile d’avoir ladite occasion si on n’essaie pas de sortir de son lieu de confort et de jeter un coup d’œil au-delà de nos habitudes.
Depuis tout petit j’ai eu à jouer au foot, j’étais très bon, mes amis admiraient ma rapidité et mon énergie inépuisable mais au fur du temps personne n’était présente pour m’encourager à jouer même si je pouvais toujours continuer avec mes études car amoureux aussi des belles lettres depuis le bas-âge, j’étais ce genre d’enfants qui dessinaient ou dansaient pendant le temps libre j’ai encore ces images de dessins que j’ai eu à réaliser pendant mon enfance ou même ces petits poèmes ou chansons que j’ai essayé d’écrire.
Comment utiliser l’Art dans l’éducation informelle que formelle ? C’est l’une de questions qui m’a vraiment touché et m’a poussé à revenir en arrière dans mes pensées et me demander ce que cette question pourrait m’inspirer.Cette grande question a fait venir une autre question, qui était celle de savoir ce que ce l’Art ? Beaucoup de réflexions ce sont succédé les unes après les autres, parmi lesquelles : l’Art c’est le fait d’apprendre par exemples les langues, c’est la manière d’agir ou de se comporter de chacun, l’Art est pour tous mais ce n’est pas le cas pour l’éducation, c’est la manière de communiquer et ce qui est beau. Dans tous les cas, toutes ces réflexions sont bonnes et vraies, à coté il y avait cette femme impressionnante qui s’appelle Laura, de nationalité française et habite au Portugal depuis plus de 15 ans, je la voyais réfléchir comme d’habitude car assez intelligente, elle dit tranquillement que l’Art parfois peut être violent, raciste, cynique mais aussi beau car l’intention de l’Artiste compte.
Le prochain jour, on a parlé de la danse, quelle était sa place dans l’éducation, en étant une personne qui aimait danser depuis tout petit, je voulais découvrir encore plus ce que ça signifie « danser », juste bouger ou chaque pas avait une signification particulière. Mais l’une de choses que j’ai retenu pendant l’intervention d’un professionnel ce « qu’on lit tout le temps parfois les mouvements d’une personne » il disait. Je suis obnubilé par tout ce qui est livre, et j’ai vite fait compris pourquoi je me sentais aussi bien d’être avec ces bonnes personnes qui souriaient tout le temps, c’est parce que tout le temps que je suis resté avec eux c’était un bon bouquin que j’ai feuilleté.
Dès le 1er janvier 2020, je me suis claquemuré chez moi pendant dix jours, pour moi c’était un moment de réflexion et de prendre le recul dans ma vie de réaliser vraiment ce que je voudrai devenir et de me souvenir qui j’étais réellement, je lisais du matin au soir et je prenais de petites pauses en écoutant du reggae musique, je sentais en moi toutes ces choses que j’aime depuis mon enfance mais je n’arrive pas à avouer que je les aime encore parce que j’ai pris un autre chemin et j’essayais de les ignorer, j’avais peur que ça m’embrouillent mais au fond de moi je restais amoureux de tous ces rêves. Pour moi je ne me voyais plus devenir autre chose qu’un homme de la faculté, celui de l’amphithéâtre, assis pendant cinq heures pour écouter le professeur parler parfois même sans dire un mot appart écouter ou même m’ennuyer au fond et donc je me suis encore une fois efforcé d’oublier tous ces rêves.
Je suis Gédéon Kakonde, étudiant en Droit à l’Université de Bourgogne à Dijon. Les voyages ou juste une rencontre avec quelques personnes, pour moi, ce sont des gros cours et leçons sans toutefois nier que ce sont des expériences inoubliables et essentielles pour toute ma vie. Ce programme d’échange au Portugal à Lisbonne avec quelques associations d’Europe m’a aidé à me souvenir encore une fois qui je suis vraiment et à poursuivre mes rêves en créant encore plus d’opportunités pour moi et pour tous ceux qui m’entourent. Pendant ce voyage appart le fait de découvrir la ville « Seven hills » and le beau quartier culturel d’Alfama, on a eu à réfléchir pour prétende résoudre quelques questions dans le cadre de l’éducation informelle, l’une de questions était de celle de savoir.
Hélas ! grâce à cette réflexion incontournable je me questionnais, suis-je un Artiste ? si oui, que dire des autres ? Après quelques minutes, je finis par me dire que tout le monde est artiste mais entant qu’enfant, on a besoin qu’une personne nous le rappelle mais parfois c’est compliquer d’avoir ladite personne à cause de l’existence des classes sociales manifestée par des inégalités dans le monde et qui s’explique par le fait que ce sont toujours les Riches ou leurs enfants qui ont plus de chance de poursuivre réellement leurs rêves. Mais en même temps je me suis demandé ce que je pourrai changer à cette situation, peut-être m’investir et aider tous ces jeunes qui n’ont pas la chance de se découvrir et pourquoi pas nous qui sommes aujourd’hui à Alfama, ce beau quartier à l’ancienne ? Bref, je me suis souvenu de l’une des phrases inspirantes de Barack Obama l’ex-président des Etats-Unis qui disait « Soit on laisse le monde tel qu’il est ou soit on travaille pour le transformer à devenir ce qu’il devrait être. »
Quelques heures après on parlait du Cinéma, avant ce moment pour moi, le cinéma c’est regarder sur Netflix un film ou parfois me rendre chez Eldorado le weekend dans ma ville « Dijon » mais j’ai vite découvert que je me trompais car ce mot signifie plus que cela. Même quand je parlais de regarder un film pour moi, c’était contempler les images (les personnages) et capter la petite histoire inspirante ou non, mais non ! j’avais tort, normalement il y avait plus que les personnages car les couleurs, le son, la musique…etc. je comprends maintenant que « Everyone knows how to look at but not how to see » la professionnelle répétait.
Comme toutes les bonnes choses passent vites c’était pareil pour ce moment, la dernière soirée était là. On nous avait parlé de la musique traditionnelle portugaise mais après tout, je ne me sentais pas trop accroché à ce genre de style mais en voyant ces trois Artistes chantaient et essayaient de nous faire chanter, j’étais assis, j’observais jusqu’à ce que je chantasse, ma voix ne m’obéissait plus. C’était la chanson « cheira beim, cheira a lisboa » et je voyais quelques personnes me dirent que j’avais une belle voix, en moi, je disais merci aux Organisateurs dont Paulo, Dulce et toute l’équipe, tous les participants sans oublier les Musiciens qui m’ont aidé à découvrir cet art de chanter et me surpasser de plus en plus. Toutes ces questions et ces beaux moments passés avec toutes ces bonnes personnes m’ont fait réfléchir et conduit à devenir encore plus. Je fais du Droit, j’aime lire et la politique mais cela ne va pas à danser, à dessiner, à jouer au foot car je suis un Artiste. Merci OFCI et toute son équipe pour la confiance et de m’avoir aidé à découvrir qui je suis vraiment. Si tu as une occasion de sortir de ton lieu de confort, pourquoi pas ?
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